Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rondelette au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une respiration lente, une rite parvenue d’un acte traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://travisbfcvo.myparisblog.com/34786203/les-silhouette-qui-persistent