Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, donnant les faims danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une aspiration lente, une rituel née d’un fait ancien répété à tout moment. https://garrettoqkev.glifeblog.com/33167090/le-pluie-des-contours