À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le essence, vivait une féminitude que l’on appelait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait décrypter le destin non dans les cartes, ni dans les oracles, mais dans les articles https://edwinsrmdt.topbloghub.com/40558723/les-silhouette-qui-persistent