Dans un seul cabinet basé en périphérie de mulhouse, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de 10 années dans une discrétion omnipotente. Les murs en abruptement nettoyé, l’odeur d’huiles principales et le vacarme constant formaient l’écrin parfait pour les séances journalieres. Jusqu’au quantième où, en plantant une aiguille au https://charlieyilop.blogcudinti.com/34196292/la-première-pulsation