Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son manie, attendait que l’obsidienne traite à neuf. La joyau noire semblait absorber la luminosité lunaire, vibrer marqué par la pression du vent, voire même, sans aviser, elle résonnait de cette voix https://ziongtuus.look4blog.com/72213446/le-goût-dans-la-joyau-noire