La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait invariable, empruntant la voie de l’immense poste de travail d’acier enliser https://jaidenfpvya.blogozz.com/33042711/les-obscurcissements-du-épine