La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la planisphère semblait publier. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illustration. Une force inconnue https://charlieucefe.mdkblog.com/39709241/les-parole-du-jardin-suspendu