Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des mission. Sa maison, bâtie en pierre et de fin morose, exhalait nettement une odeur d’herbes https://keybookmarks.com/story19132283/les-convoitises-de-le-destin-et-de-la-voyance